Après Bruxelles et tous les autres drames depuis que j'ai publié ceci en juin 2015, je republie aujourd'hui ce partage et je vais voir ce qui en moi, dans mon quotidien, dans ma vie, dans mon lien au monde ... permet à ces drames de se manifester dans le monde.
Avec toute ma compassion pour les victimes et familles de victimes des attentats, des guerres, des famines, des maltraitances, des violences de toutes sortes dans le monde. Le pendant de tout ça existe en chacun de nous, la vie, la paix, l'abondance, la bienveillance, la douceur ... à chacun de nous de s'y connecter, de le manifester, de le vivre et de l'offrir au monde.
Avec toute ma compassion pour les victimes et familles de victimes des attentats, des guerres, des famines, des maltraitances, des violences de toutes sortes dans le monde. Le pendant de tout ça existe en chacun de nous, la vie, la paix, l'abondance, la bienveillance, la douceur ... à chacun de nous de s'y connecter, de le manifester, de le vivre et de l'offrir au monde.
Article publié le 28 juin 2015 :Voici un partage inspiré de ce que je vis aussi bien dans ma vie personnelle que dans ma pratique professionnelle.
Au delà des questions géopolitiques, des manipulations de masses ou d'individus, plus l'humanité se déshumanisera (économiquement, socialement, spirituellement, politiquement), plus l'être humain sera "loin" de se qu'il "est", plus la tension intérieure qu'il vivra pourra mener à un pétage de plomb et imploser, allant parfois jusqu'au suicide tout seul dans son coin, ou exploser avec des drames comme on en voit de plus en plus.
A mon sens, le défi à relever pour l'humanité ne passera pas par des révolutions de masses mais passera avant tout par des transformations intérieures profondes des individus (dont découleront des transformations collectives).
Le défi de l'humanité est à relever par chaque être humain, et le défi de chaque être humain, c'est de devenir l'ETRE humain qu'il EST. Pas ce qu'il croit être, pas ce qu'on lui a appris à être, pas celui qu'on lui fait croire qu'il est (et qui peut l'amener à commettre un attentat suicide), pas ce que la société ou la famille veut qu'il soit ... ce qu'il EST, sans rentrer dans aucun moule.
Puissent ces drames inhumains nous reconnecter à notre humanité, à notre essence essentielle, et nous amène à être et incarner chacun les changements qui doivent s'opérer dans le monde pour que cesse la folie meurtrière.
Avec toute ma compassion pour les victimes et familles de victimes des attentats du 27 juin 2015 en Tunisie, en France et au Koweït.
